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Profession:
Acteur et chansonnier français.
Date et lieu de naissance:
17-05-1904, à Paris, France.
Date et lieu du décès:
15-11-1976, à l'hôpital Américain de Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine, France.
Cause du décès:
D'une crise cardiaque à l'âge de 71 ans.
Nom de naissance:
Jean Alexis Gabin Moncorgé.
État civil:
Marié en 1925 avec l'actrice : GABY BASSET - divorcé en 1930
GABY est décédée en 2001.
Marié en 1933 avec la meneuse de revue : JEANNE MAUCHAIN - divorcé en 1939).
Liaison en 1937 avec l'actrice : MIREILLE BALIN.
Liaison en 1939 avec l'actrice : MICHELE MORGAN - jusqu'en 1940
Liaison en 1941 avec l'actrice : MARLENE DIETRICH - jusqu'en 1947
Marié le 28 mars 1949 avec le mannequin : DOMINIQUE FOURNIER - jusqu'au décès de Jean en 1976).
Dominique Fournier est décédée en 2002. - Ils eurent trois 3 enfants.
Florence (1950), Valérie (1952), et Mathias (1956).
Les autres enfants de Jean Gabin : Mary Moncorgé, Cleia Moncorgé et Alexis Moncorgé.
Liaisons probable : GINGER ROGERS, SIMONE SIMON.
Taille:
(170 cm)
Fils de Ferdinand Joseph Gabin Moncorgé et d'Hélène Petit, qui était chanteurs de café-concert.
Le 17 mai 1904, il naît à Paris, au 23 boulevard Rochechouart, sous le nom de Jean Alexis Gabin Moncorgé.
Il a six frères et soeurs aînés. Il passera son enfance et son adolescence à la campagne pour laquelle il gardera toute sa vie une profonde affection, dans le petit bourg campagnard de Mériel du Val-d'Oise.
1919 : Alors qu'il a 15 ans, sa mère décède. Il est mauvais élève et délaisse le lycée Janson-de-Sailly à Paris où il est inscrit et enchaîne les petits métiers, garçon de bureau à la compagnie parisienne d'électricité, cimentier à la gare de la Chapelle, manoeuvre dans une fonderie, magasinier aux magasins d'automobiles de Drancy, vendeur de journaux.
1924 et 1925 il fait son service militaire dans la marine militaire, et pendant une permission du début de l'année 1925 il épouse une admiratrice, la future actrice Camille Basset, dite Gaby, avec qui il n'aura pas d'enfant.
1928 : Il devient partenaire de Mistinguett, qui vient de rompre avec Maurice Chevalier, au Moulin-Rouge et au Bouffes-Parisiens dont le directeur est le célèbre auteur de l'époque Albert Willemetz.
Le 20 novembre 1933, il épouse à Paris 16ème Jeanne Mauchain, meneuse de revue et danseuse nue du Casino de Paris, connue sous le nom de Doriane Mauchain (Son père décède trois jours avant son mariage).
Le 2 septembre 1939, il est mobilisé dans la marine de guerre à Cherbourg, pendant la Seconde Guerre mondiale. Il obtient une permission exceptionnelle pour terminer le film Remorques avec Michèle Morgan. Ils ont une brève idylle.
Sa deuxième épouse Jeanne Mauchain était une ancienne fille de choeur du casino de Paris. Après leur divorce, il a été condamné à lui payer 60 millions d'anciens francs Français.
Le 18 janvier 1943, il divorce de sa seconde épouse Jeanne Mauchain et, déjà très célèbre, il s'engage dans les Forces françaises libres du Général de Gaulle et participe à la victoire des alliés comme second maître chef du char Le Souffleur du Régiment blindé des fusiliers marins de la 2eme DB du général Leclerc. Il est décoré de la médaille militaire et de la Croix de guerre. Il restera toute sa vie très attaché à la marine.
1949 : Il se marie avec Christiane Fournier, dite Dominique, mannequin chez le couturier Lanvin, qui a déjà un fils Jacki et avec qui il a trois enfants : Florence Moncorgé-Gabin (1950), Valérie (1952) et Mathias (1956).
1952 : Il réalise un de ses rêves d'enfant en investissant le restant de sa vie toute sa fortune au fur et à mesure dans le domaine de " La Pichonnière " à Moulins-la-Marche dans l'Orne, en Normandie, sur lequel il fait construire " La Moncorgerie ". Il se lance dans l'élevage de près de 300 bovins et d'une écurie d'une quinzaine de chevaux de course pour assouvir sa passion pour l'élevage de chevaux.
Le 15 novembre1976, alors qu'il vient juste de décider la vente de son domaine Normand de La Pichonnière, il meurt d'une crise cardiaque (il avait eu une alerte en 1973 lors du tournage de deux hommes dans la ville de José Giovanni) à l'âge de 72 ans à l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine. Ses cendres seront dispersées dans la mer d'Iroise, selon ses dernières volontés, à vingt milles au large des côtes bretonnes.
1981 : Le Monde du Cinéma lui rend hommage en créant le Prix Jean Gabin, récompense décernée tous les ans depuis aux meilleurs espoirs masculins du Cinéma Français.
1992 : La commune de Mériel du Val-d'Oise, la commune de son enfance, a ouvert un musée qui lui est dédié.
Dans Quai des brumes, il murmure " T'as d'beaux yeux tu sais!..." à Michèle Morgan. Dans Le Pacha, il prononce cette fameuse phrase de Michel Audiard : " Quand on parle pognon, à partir d'un certain chiffre tout le monde écoute ".
Dans Le Gentleman d'Epsom, il adresse à Jacques Marin cette extraordinaire tirade toujours de Michel Audiard : " Nous n'avons pas appris le cheval dans les mêmes écoles, pendant que j'étais à Saumur vous étiez à Vaugirard... Alors brisons là voulez vous, Monsieur, chacun dans sa sphère, et je vous prierai de ne plus m'adresser la parole, même de loin ".
Dans Le Cave se rebiffe , dialogues de Michel Audiard : à la question de Bernard Blier qui lui demande : " ça laisserait net combien à chacun ? " Il répond : " 20 ans de placard, le bénéfice ça se divise, la réclusion ça s'additionne".
1976 - Décoré de la Croix d'Officier de l'Ordre National du Mérite.
1964 - Chevalier de la Légion d'Honneur.
1963 - Il crée avec Fernandel la société de production Gafer.
1939 - 1945 - Croix de Guerre - Médaille Militaire.
1974 - Maintenant je sais.
1936 - Quand on s'promène au bord de l'eau.
1934 - Viens Fifine.
1922 - Aux Folies-Bergères : Folie sur folie, dont Jenny Golder et Bach sont les vedettes.
1923 - La revue du vaudeville de Rip avec Gaby Montbreuse, Vilbert, Signoret et Marguerite Deval.
1923 - Aux Bouffes-parisiens, La Dame en décolleté, avec Dranem, Lucien Baroux et un autre débutant nommé Jean Sablon, opérette de Maurice Yvain, Yves Mirande et Lucien Boyer.
1925 - Bouffes-Parisiens, Trois jeunes filles nues, une opérette signée Raoul Moretti, Yves Mirande et Albert Willemetz.
1928 - Devient boy de Mistinguett dans la revue Paris qui tourne au Moulin Rouge.
1929 - Moulin Rouge, Allo, ici, Paris. Georgius en est la vedette.
1929 - Bouffes-Parisiens : Flossie avec Koval, Jacqueline Francell et Mireille.
1930 - Bouffes-Parisiens : Arsène Lupin le banquier , avec Lucien Baroux, Meg Lemonnier et Koval.
" Je ne m'ennuie jamais. Quand j'ai rien à faire, je " gamberge " à des trucs. " L'enfance, père et mère
" Je n'ai pas été ce qu'on appelle un enfant sage et discipliné. Et le pire, c'est qu'en outre je n'étais doué en rien. Mais alors, vraiment en rien! D'une incroyable médiocrité en toutes choses ! "
"J'étais le sale petit canard, le petit affreux de la couvée. Pour ma mère du moins. Pauvre mère! Sa sentence la plus commune et, si j'ose dire, la plus définitive à mon égard était : - Jean, vous finirez sur l'échafaud ! Il fallait tout de même que je lui en fasse voir pour qu'elle me condamne à une si triste fin. J'en ai souvent eu honte par la suite, mais quand on est gosse... J'ai gardé d'elle l'image d'une femme dont je dirais aujourd'hui qu'elle était excessivement nerveuse et irritable mais qui pour moi, à l'époque, était surtout celle d'une mère qui gueulait tout le temps après moi." (Sa mère, chanteuse, a renoncé à travailler pour s'occuper de ses sept enfants.)
"Quant à mon père, le plus lointain souvenir d'enfance que j'ai conservé de lui est celui d'un homme qui "passait" chaque jour à la maison comme une sorte de mystérieux voyageur, et à des heures où le plus souvent je dormais. Il rentrait en effet tard, par le dernier train du soir, de ses représentations à la Cigale, dormait toute la matinée et repartait en début d'après-midi alors que je faisais ma sieste. Avec les années, ce fut à peu près la même chose, à la différence que lorsqu'il repartait j'étais à l'école ou en train de courir la campagne." ( Joseph Gabin fut chanteur d'opérette et de Caf'conc'.)
Music-hall
" Mes vagabondages dans les rues, mes séjours dans les bistros de la Butte et de la Chapelle m'avaient quand même un peu ouvert les yeux sur certains trucs. J'avais compris qu'il y avait des circonstances où il fallait refréner son tempérament et mettre la pédale douce. C'est ce que je me suis dit en acceptant, sans trop gueuler, d'entrer aux Folies. Je n'avais évidemment pas changé d'opinion sur le métier de théâtreux et au premier coup de pétard j'étais décidé à filer voir ailleurs. Entre-temps, j'aurais au moins montré à mon père que je n'y mettais pas de mauvaise volonté." (Débuts aux Folies Bergères en 1922 en tant que figurant.)
"Je chantais des chansons de Chevalier ou de Dranem. Je les imitais, surtout Chevalier. Les salles étaient le plus souvent minables, la scène balayée de courants d'air à vous faire attraper la crève, le rideau poussiéreux vous donnait envie d'éternuer dès qu'on le bougeait un peu, les fauteuils grinçaient sous les fesses des spectateurs. Mais on était quand même contents qu'ils grincent, ces fauteuils, parce que çà voulait dire qu'il y avait du monde assis dessus et que l'on était précisément venus pour ça, pour se faire entendre, se faire applaudir, et ensuite passer à la caisse toucher son cacheton qui n'était pas bien gros: 50 francs par soirée et là-dessus je payais le chemin de fer, le fond de teint, la bouffe, l'hôtel et la blanchisseuse pour avoir chaque jour un col propre. Encore de la veine quand on touchait! Des fois, le type qui avait organisé la tournée s'était barré avec la recette. C'était Vacherie et Cie, tout ça!" (1925, Gabin débute une carrière de chansonnier, au Kursaal de Clichy, puis dans des salles de Province.)
Cinéma
" Moi, j'avais prévenu tout le monde. D'accord, votre cinéma, je vais vous le faire, mais j'y connais rien et je suis aussi fait pour ça que pour devenir évêque !... Ça sera pour vos pieds, si ça marche pas ! "
" Nous, on savait pas qu'on faisait des films dont on allait encore parler des décennies plus tard. On essayait seulement de bien faire notre boulot, chacun à son poste, et des films que le public attendait. "
" J'ai assez vite compris qu'avec la gueule que j'avais, il valait mieux que j'en fasse le moins possible devant la caméra qui grossissait tout démesurément comme une loupe. J'évitais donc d'exprimer les sentiments des personnages que je jouais par des expressions trop appuyées, car je savais qu'avec ma tronche " bosselée ", même bien éclairée, ça pèserait son poids sur l'écran."
" J'avoue que ça me faisait marrer parce que j'ai jamais bien compris ce que ça voulait dire , " jouer de l'intérieur ". Je jouais avec mes tripes, oui ! J'en bavais et je suais sang et eau pour essayer de donner à mes personnages une vérité et un naturel que j'espérais être justes."
" C'est Duvivier qui m'a appris ce que j'ignorais encore de la technique du cinéma. Il m'a expliqué les objectifs et selon le choix qu'on en faisait pour un plan ce qu'on pouvait en attendre. J'ai bien retenu la leçon et ensuite j'ai su adapter mon jeu ou une certaine façon de me déplacer devant la caméra, en fonction de l'objectif choisi. "
Guerre et politique
" Je pensais : les Allemands vont finir par prendre la pâtée, la France sera libérée. Alors, je ne me voyais pas débarquer sans avoir personnellement rien fait pour ça. Je ne me voyais surtout pas retrouver des copains à Paris qui, eux, y seraient allés à la riflette et me contenter de leur dire : " Me r'voilà, les potes ! " Et vous, comment ça va ? " J'aurais jamais osé les regarder, leur serrer la main, et je voulais pouvoir le faire sans honte. C'est pour tout ça que je suis parti la faire, cette putain de guerre, et la trouille au ventre, en plus. "
" Je suis un vieil anarchiste... de droite, forcément ! Avec le pognon que je gagne, personne ne me croirait si je disais... de gauche ! "
" Je n'oublierai jamais que j'ai été prolo. Je reste un solitaire, sans parti ni syndicat, un libertaire à la mode d'autrefois. En somme, je suis un " anar ". Et aussi un bourgeois. "
Précédé par six frères et soeurs, Jean Gabin est le fils de Joseph Gabin et d'Hélène Petit, chanteurs de café-concert. Il est élevé par sa soeur Madeleine, à Meriel (Seine-et-Oise). A l'âge de14 ans, Jean, dont le rêve était de devenir conducteur de locomotive, exerce divers métiers, cimentier à la gare de la Chapelle, magasinier ou vendeur de journaux.
Gabin fut certainement le plus français d'entre tous les acteurs. Non pas qu'il incarnât spécialement le " French lover " ou le "Français de service". Mais parce que chez Gabin, l'homme et l'acteur se mêlaient étroitement au service de valeurs "hexagonales", ces mêmes valeurs qui permirent au public de s'identifier si fortement à lui. De Prévert à Audiard, la France de Gabin est faite de langue verte, de faubourgs familiers ou de bocages, de bonne chère, de sport et d'amitié. Elle se veut à la fois poétique et gouailleuse, braillarde et généreuse, noble et populaire. Gabin était un personnage exceptionnellement riche, dont le parcours épouse étroitement une histoire nationale : une enfance dans une banlieue des bords de l'Oise faite de vagabondages et d'école buissonnière, à rêver de devenir mécanicien de locomotive, puis la découverte du pavé parisien des années 20, avec ses truands et le monde du cabaret, des Folies-Bergère au Moulin Rouge (son idole restait Maurice Chevalier, et il fut même le partenaire de Mistinguett et de Joséphine Baker), enfin le milieu ouvrier des années 30, avec ses dures conditions de travail, ses guinguettes, et les grands rêves du Front populaire. Et si, par la suite, l'évolution de sa condition sociale révéla un Gabin "bourgeois", ayant fait siennes de nouvelles valeurs acquises par la République, il demeura toute sa vie, selon ses propres termes, un "anar"...
La France, il ne sut jamais s'en éloigner trop longtemps, incapable de s'adapter à tout autre univers culturel. Et lorsqu'il émigra à Hollywood pendant la guerre (où il vécut une célèbre liaison avec Marlene Dietrich), il n'eut de cesse de revenir, et s'engagea dans les Forces françaises libres. Sa carrière ayant d'ailleurs du mal à redémarrer à son retour du conflit, il entendit prévoir l'éventualité que le cinéma puisse s'arrêter pour lui et entama en parallèle une seconde vie d'agriculteur-éleveur ! Le Gabin de l'après-guerre rêvait alors de cultures, de cheptel, de chevaux de course.
A la poursuite d'un rêve de gosse, il rassembla les siens (il s'était marié en 1949 et eut par la suite trois enfants) en un lieu idéal, qu'il n'aura désormais de cesse de retrouver, une fois chaque tournage terminé, et ceci alors même que la gloire était revenue. Car elle revint effectivement, et ne le quittera plus, faisant de lui un véritable phénomène, un acteur "surdimensionné". Tout en faisant évoluer son personnage, Gabin saura lui conserver sa cohérence, et verra sa carrière connaître une incroyable longévité.
Gabin au cinéma, c'est une filmographie sans équivalent : près d'un demi-siècle de cinéma français, c'est-à-dire l'essentiel de l'histoire du grand cinéma français populaire. Une formidable rencontre avec le public, qui, encore aujourd'hui, vingt-cinq ans après sa disparition, témoigne de son profond attachement à cet homme excessif, bourru, mais incontestablement honnête, à qui il avait donné sa confiance. Mais si, à ses débuts, Gabin avait su se battre pour permettre à certains scénaristes ou metteurs en scène de faire leurs films comme ils l'entendaient (la Belle Equipe, la Grande Illusion, le Jour se lève, entre autres, furent pour lui autant de combats obstinés pour parvenir à les faire admettre aux producteurs, et ensuite les mener jusqu'au bout), il succomba malheureusement souvent par la suite à la facilité. Avec l'âge, Gabin prit moins de risques, et il lui arriva même de "Gabiniser" un peu trop...
De plus, pris au piège d'un cinéma trop volontiers "commercial", il ne suscitait plus autant le désir des jeunes réalisateurs. Avec lucidité (et amertume), il lui arrivait fréquemment de dire "Encore un ou deux films, des bons si possible, et je tire l'échelle sur le cinéma..." Pourtant, quoi qu'il s'en défend"t, sa passion pour son métier restait indéfectible, et il n'aurait jamais pu se résoudre à arrêter de lui-même. Heureusement, des réalisateurs parmi les nouveaux venus lui offrirent quelques derniers grands rôles à sa mesure, dans lesquels le poids de la vie de l'homme comme de celui de la carrière du comédien se firent sentir à chaque plan: la Horse et le Chat de Pierre Granier-Deferre, ou l'Affaire Dominici, de Claude-Bernard Aubert. Dans ces dernières apparitions bouleversantes, le patriarche retrouvait son regard d'enfant et affirmait son talent. Jean Gabin décéda à Neuilly le 15 novembre 1976.
Il sera incinéré et l'urne contenant ses cendres sera jetée, en pleine mer, au large de Brest. Prolo et voyou, paysan et soldat, anar et bourgeois : les vies et les rôles de Jean Gabin ressemblent à la France.
1987 - César d'honneur, France.
1971 - Pour : Le chat - L'Ours d'argent - Meilleur acteur - Festival de Berlin, Allemagne.
1959 - Pour : Archimède, le clochard - L'Ours d'argent - Meilleur acteur - Festival de Berlin, Allemagne.
1954 - Pour : Touchez pas au grisbi - Coupe Volpi - Meilleur acteur - Festival de Venise, Italie.
1954 - Pour : L'air de Paris - Coupe Volpi pour - Meilleur acteur - Festival de Venise, Italie.
1951 - Pour : La nuit est mon royaume - Coupe Volpi - Meilleur acteur - Festival de Venise, Italie.
97 FILMS COMPLETS
1976 - ANNÉE SAINTE .L'
1974 - VERDICT
1973 - DEUX HOMMES DANS LA VILLE
1972 - AFFAIRE DOMINICI .L'
1971 - TUEUR .LE
1971 - DRAPEAU NOIR FLOTTE SUR LA MARMITE .LE
1971 - CHAT .LE
1970 - HORSE .LA
1969 - CLAN DES SICILIENS .LE
1968 - SOUS LE SIGNE DU TAUREAU
1967 - PACHA .LE
1968 - TATOUÉ .LE
1967 - SOLEIL DES VOYOUS .LE
1966 - JARDINIER D'ARGENTEUIL .LE
1965 - TONNERRE DE DIEU .LE
1966 - DU RIFIFI À PANAME
1964 - MONSIEUR
1964 - ÂGE INGRAT .L'
1963 - MAIGRET VOIT ROUGE
1963 - MÉLODIE EN SOUS-SOL
1962 - SINGE EN HIVER .UN
1962 - GENTLEMAN D'EPSOM .LE
1961 - CAVE SE REBIFFE .LE
1960 - VIEUX DE LA VIEILLE .LES
1960 - PRÉSIDENT .LE
1959 - RUE DES PRAIRIES
1959 - MAIGRET ET L'AFFAIRE SAINT-FIACRE
1959 - BARON DE L'ÉCLUSE .LE
1958 - GRANDES FAMILLES .LES
1958 - ARCHIMÈDE LE CLOCHARD
1957 - DÉSORDRE ET LA NUIT .LE
1957 - ROUGE EST MIS .LE
1958 - MISÉRABLES .LES
1958 - MAIGRET TEND UN PIÈGE
1958 - EN CAS DE MALHEUR
1956 - TRAVERSÉE DE PARIS .LA
1956 - SANG À LA TÊTE .LE
1956 - CRIME ET CHÂTIMENT
1956 - CAS DU DOCTEUR LAURENT .LE
1955 - VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS
1955 - GAS-OIL
1955 - DES GENS SANS IMPORTANCE
1955 - CHIENS PERDUS SANS COLLIER
1955 - RAZZIA SUR LA CHNOUF
1955 - FRENCH CANCAN
1954 - AIR DE PARIS .L'
1954 - PORT DU DÉSIR .LE
1954 - NAPOLÉON
1953 - VIERGE DU RHIN .LA
1954 - TOUCHEZ PAS AU GRISBI
1953 - LEUR DERNIÈRE NUIT
1952 - FILLE DANGEREUSE
1952 - MINUTE DE VÉRITÉ .LA
1951 - VICTOR
1951 - VÉRITÉ SUR BÉBÉ DONGE .LA
1951 - PLAISIR .LE
1951 - NUIT EST MON ROYAUME .LA
1950 - POUR L'AMOUR DU CIEL
1949 - MARIE DU PORT .LA
1949 - AU-DELÀ DES GRILLES
1946 - MIROIR
1946 - MARTIN ROUMAGNAC
1943 - IMPOSTEUR .L'
1942 - PÉNICHE DE L'AMOUR .LA
1940 - REMORQUES
1939 - JOUR SE LÈVE .LE
1938 - RÉCIF DE CORAIL .LE
1938 - QUAI DES BRUMES .LE
1938 - BÊTE HUMAINE .LA
1937 - MESSAGER .LE
1937 - GUEULE D'AMOUR
1937 - GRANDE ILLUSION .LA
1936 - PÉPÉ LE MOKO
1936 - BELLE ÉQUIPE .LA
1936 - BAS-FONDS .LES
1935 - VARIÉTÉS
1935 - BANDERA .LA
1935 - GOLGOTHA
1934 - ZOUZOU
1934 - MARIA CHAPDELAINE
1933 - TUNNEL .LE
1933 - ÉTOILE DE VALENCIA .L'
1933 - DU HAUT EN BAS
1933 - ADIEU LES BEAUX JOURS
1932 - FOULE HURLE .LA
1932 - GAIETÉS DE L'ESCADRON .LES
1932 - BELLE MARINIÈRE .LA
1931 - POUR UN SOIR
1931 - TOUT ÇA NE VAUT PAS L'AMOUR
1931 - PARIS-BÉGUIN
1931 - GLORIA
1931 - COEURS JOYEUX
1931 - COEUR DE LILAS
1930 - MÉPHISTO
1930 - CHACUN SA CHANCE
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06-01-2010 16:12:52
marc.ravand@orange.fr
27-10-2010 09:30:16
27-10-2010 15:50:05
02-11-2010 08:34:35
15-03-2011 15:00:58
30-07-2011 18:52:42
06-08-2011 09:24:29
20-08-2011 15:22:17
20-08-2011 16:05:01
21-08-2011 09:01:52
22-08-2011 13:51:05
15-11-2011 09:43:46
31-12-2011 00:03:51
31-12-2011 11:14:05
25-08-2012 23:04:43
21-12-2012 11:22:08
30-07-2013 09:28:21
16-06-2019 23:14:03