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Profession:
Acteur, réalisateur, scénariste, conteur, écrivain et homme de théâtre français.
Date et lieu de naissance:
30-03-1933, à Aumale, Algérie.
Date et lieu du décès:
30-05-2007, à Paris, France.
Cause du décès:
D'un cancer à l'âge de 74 ans.
Nom de naissance:
Jean-Claude Marcel Brialy.
État civil:
Célibataire.
Taille:
?
Né à Aumale en Algérie, il est le fils d'un colonel de l'armée française, qu'il suit dans ses multiples affectations pendant son enfance. Il passe par Blida en Algérie, par Annaba (anciennement Bône), puis par Marseille. La famille Brialy s'installe ensuite à Angers, au 10 de la rue Mirabeau. Jean-Claude et son frère vont à l'école au lycée David d'Angers (où il connut son « premier émoi de comédien » dit-il dans son autobiographie) et les vacances se déroulent chez leurs grands-parents à Chambellay, à une trentaine de kilomètres au nord d'Angers. C'est dans ce village que Jean-Claude Brialy vit les plus beaux moments de son enfance, écrit-il en 2000 dans son autobiographie.
Après son baccalauréat, il s'était inscrit d'abord au Conservatoire de Strasbourg puis au Centre d'art dramatique de l'Est, avant de sympathiser avec plusieurs comédiens en tournée théâtrale, dont Jean Marais, qui l'encouragent dans sa vocation.
En 1954, il débarque à Paris, vit de petits boulots, ses parents refusant de l'aider. Il fréquente alors la bande des Cahiers du cinéma et joue dans un court métrage Le coup du berger de Jacques Rivette. Il va alors multiplier apparitions et rôles, dont Elena et les hommes de Jean Renoir en 1956, Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle en 1957 et surtout Le Beau Serge et Les Cousins de Claude Chabrol, qui lui apportent la célébrité.
En 1971, il réalise son premier film, "Églantine"
Un surnom de choix
Ayant joué dans près de 200 films, François Truffaut a surnommé Jean-Claude Brialy 'le Cary Grant français'.
L'acteur, qui sera enterré au cimetierre Montmartre, avait demandé qu'aucun journaliste ne soit admis dans l'église.
On a pu le voir aux obsèques de Gérard Oury, en juillet 2006, avec lequel il avait tourné Lévy et Goliath, aux funérailles de Philippe Noiret le 30 novembre 2006 et quelques semaines avant sa mort, à celles de Jean-Pierre Cassel.
Distinctions : Premier prix de comédie au conservatoire de strasbourg - Légion d'honneur (2004).
LES RÉACTIONS À L'ANNONCE DE LA MORT DE L'ACTEUR JEAN-CLAUDE BRIALY
Jean-Claude Brialy était adorable, exactement comme on l'imagine. C'était un homme fin, délicat, généreux et attentif aux autres. Il n'était pas mondain, il était courtois. Il aimait les autres et avait une grande fidélité en amitié. Il a traversé le siècle comme acteur, l'un des plus marquants de la Nouvelle vague avec cette acidité brillante, le charme et une grâce totale. (I Télé)
Jean-Claude est comme un jeune frère pour moi et je regrette qu'il soit parti avant moi". L'actrice gardera de lui l'image du "jeune homme quand il est venu dans ma loge il y a bien des années", son "sourire, sa générosité, son élégance. (RTL)
Quand je voulais savoir quelque chose sur ce métier j'appelais Jean-Claude. Il connaissait tout, l'humeur, la santé des gens, c'était une bête de curiosité. A chaque fois qu'il arrivait sur un plateau, il faisait cadeau à 100% de ses cicatrices, de son savoir faire, de tout. Je suis très triste. (RTL)
C'est un frère qu'on perd, je pense que le monde du spectacle est en deuil. Il était un homme aux talents multiples. Je ne sais pas qui reprendra "Les Bouffes Parisiens", mon souhait c'est que ça s'appelle à jamais "Les Bouffes Parisiens Jean-Claude Brialy. (RTL)
Jean-Claude, c'était la générosité, la folie, la passion, la sensibilité, la fidélité en amitié, la disponibilité, la tendresse, mille et mille choses... On était copains de régiment. C'était un homme de théâtre exceptionnel, un bon directeur, un metteur en scène formidable...". (LCI)
Il savait tout faire et puis il savait être de tous les milieux. Il était curieux parce qu'il me disait "je pensais qu'on ne pouvait pas m'imiter", moi j'étais très touché qu'il apprécie mon humour". (RTL)
directeur du Petit Théâtre de Paris : "Pour le grand public, il a été d'abord un homme de cinéma, c'est devenu vraiment un homme de théâtre puis c'est devenu un directeur de théâtre, il le disait souvent d'ailleurs, c'était comme une danseuse. Mais c'était parce qu'il aimait ça et il aimait les gens qui faisaient ça". (RTL)
Ce qui m'a le plus frappé chez lui, c'est son incroyable présence amicale, c'est-à-dire sa générosité. Toujours là quand ça va pas aussi bien pour ceux de son métier que pour des inconnus. Il a tout fait. Brialy c'est un homme de spectacle. Mais le souvenir que ses copains, ses amis, ses intimes, à mon avis évoqueront de lui en permanence, c'est l'amitié". (RTL)
Évoque "un surdoué, doué pour tout. Pour le cinéma, pour le théâtre, pour la radio Doué pour l'amitié. Il a connu tout le monde, il a tourné avec les plus grands. Il a été un des héros de la Nouvelle Vague homme de théâtre, patron de théâtre". "Tout ce qu'il touchait, il le rendait beau, intelligent et brillant", a confié l'animateur. "Faire une émission avec Jean-Claude Brialy, c'était un feu d'artifice, c'était un bon mot à chaque phrase, un souvenir cocasse amusant". (Europe-1)
RETROUVEZ L’INTERVIEW DE CETTE PERSONNALITÉ DANS «TÊTU» N°100.
LE TEXTE CI-DESSOUS EST CONSTITUÉ D’EXTRAITS NON PUBLIÉS DE L’ENTRETIEN.
A force de raconter vos souvenirs, vous n'avez pas peur de vivre dans le passé ?
Non, mais je regrette qu'il n'y ait plus de conteurs. J'ai un peu la nostalgie de la conversation. Quand j'avais 20 ans, les gens riches aimaient les artistes, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. Marie-Laure de Noailles ou Florence Gould organisaient des dîners chez elles. Les gens étaient jaloux les uns des autres, ils luttaient pour être le plus brillant et le plus formidable. Chez Louise de Vilmorin, j'étais fasciné par les mélanges : Maria Callas et Noureïev côtoyaient le président de Renault, François Mauriac ou Johnny Hallyday. Aujourd'hui, on se rend à un déjeuner ou à un dîner, les gens allument la télévision, et on ne peut plus parler, si ce n'est de leurs problèmes, du chômage, de la guerre, du racisme, du sida. Tout ce qui nous étouffe et nous bouffe.
Parlez nous de Noureïev.
Noureïev, je l'admirais, j'étais ébloui, c'était un dieu en scène. En plus, il avait 25 ans : la beauté sur Terre ! J'étais fou de lui, sur le plan de la danse, de l'acteur, de l'étoile. Et puis dans la vie, il était tellement charmant et tendre. J'ai eu la chance d'avoir une histoire avec lui, même s'il en a eu beaucoup d'autres : c'était un amant fabuleux ! J'en ai gardé un souvenir ému, tendre, et, une fois passé cet orage charmant et romantique, nous sommes devenus amis.
Avez-vous reçu beaucoup de lettres d'amour dans votre vie ?
Non, pas énormément. J'ai reçu des lettres du public, de spectateurs qui me trouvaient bien dans un film ou dans une pièce, et on sentait en filigrane le désir de me rencontrer. Mais je suis un peu méfiant, et je n'aime pas les gens qui vous font croire qu'ils vous aiment et couchent avec vous uniquement parce que vous êtes connu. J'espère qu'à la fin de ma vie, je ne tomberai pas sur un gigolo qui me dira « tu es merveilleux » tout en se moquant de moi. Il n'y a rien de plus pathétique. Comme disait le Général De Gaulle, la vieillesse, c'est le naufrage. Je vois tellement d'amis qui sont comme des vieux, repliés sur eux-mêmes avec leurs souvenirs, et qui de temps en temps se payent un mec. Quelle horreur ! Je ne pourrais pas, je serais incapable de bander.
Votre dernier livre a-t-il suscité des réactions violentes ? Je pense notamment aux proches d'Yves Montand…
Personne ne s'est manifesté, mais je sais que désormais, la femme de Montand –Carole- me déteste. Je n'ai pas écrit que Montand était homosexuel. Je lui ai simplement reproché de m'avoir donné des leçons de morale et de m'avoir insulté en me traitant de tapette, de salope, etc. A 18 ans, lui-même n'était pas si blanc. Il se laissait tripoter par un homme qu'il n'aimait pas afin d'obtenir quelque chose. C'est ce qu'il y a de pire : l'escroquerie du cœur. D'ailleurs, le chapitre sur Montand ne figurait pas dans la première version du livre. Je l'ai rajouté, en me souvenant à quel point j'avais été blessé et malheureux. Mais si j'avais su que le livre de Catherine Allégret allait sortir, je m'en serais passé, ça fait beaucoup pour un mort.
Avez-vous encore des secrets à révéler ?
Non, ce n'est pas mon genre d'aller raconter des fredaines, mes histoires de cul ou d'amour. Tout le monde a des mystères, des fantasmes, des secrets, et je garderai les miens pour moi.
Le mot de la fin ?
Un jour, on m'a demandé si j'avais une devise. Alors j'en ai trouvé une : «il faut courir plus vite que les nuages». Parce qu'au fil du temps, on est plus lucide, moins pressé, on a le temps d'observer, d'écouter… La vie apporte son lot de déceptions et de malheurs : un film ne se fait pas, certaines personnes vous volent et, surtout, vos amis disparaissent. Mais si on est, comme moi, d'un tempérament optimiste, on court plus vite que les nuages pour rattraper le petit coin de ciel bleu où on est en paix, où on se sent protégé.
Propos recueillis par Yann Gonzalez
QUELQUES CITATIONS DE JEAN-CLAUDE BRIALY
«C'est dans le fumier qu'éclosent les fleurs magiques.»
«La vision que l'on a de soi est toujours approximative : même si l'on a plus ou moins apprivoisé son physique, même si l'on veut bien se reconnaître quelques défauts et quelques qualités.»
«Le théâtre et la vie peuvent parfois ne faire qu'un.»
«Le temps béni est celui des circonstances heureuses.»
«Les mains de banquier, cela ne fait pas de rides.»
«Lorsqu'on sourit à la vie, elle vous rend ses sourires.»
«Le cinéma a cette vertu de combler votre curiosité, par toutes sortes de rencontres qui peuvent transformer votre vie.»
SES OBSÈQUES
Les obsèques du comédien Jean-Claude Brialy, disparu mercredi dernier à l'âge de 74 ans à son domicile parisien des suites d'un cancer, ont débuté ce lundi 4 juin en l'église Saint-Louis-en-l'Ile, à Paris, en présence d'un parterre de personnalités du spectacle, mais aussi du président de la République Nicolas Sarkozy.
Tous très proches du comédien disparu, de nombreux acteurs parmi lesquels Jean-Paul Belmondo, Alain Delon, Catherine Deneuve, mais aussi Jane Birkin, Gérard Jugnot, Christian Vadim, ou Guy Bedos assistaient à la cérémonie.
De nombreux anonymes étaient parqués derrière des barrières, le quartier ayant été bloqué de tous ses accès par un important dispositif policier.
Mise à jour le 06 juillet 2009 par Philippe de Cinememorial.
L'acteur et réalisateur Jean-Claude Brialy est mort mercredi à son domicile à 74 ans des suites d'une longue maladie, a-t-on appris auprès de ses proches. Jean-Claude Brialy a joué au cours de ses 40 ans de carrière dans une quarantaine de films, révélé notamment par Le beau Serge de Claude Chabrol, mais il était était aussi une figure du théâtre et de la vie mondaine parisienne.
Apparu pour la première fois au cinéma en 1956 dans Elena et les hommes de Jean Renoir, il fut notamment l'interprète de Louis Malle (Ascenseur pour l'échafaud, 1957, Les amants, 1958), Claude Chabrol (Le beau Serge, 1958, mais aussi Les cousins, 1959), François Truffaut (Les quatre cents coups, 1959) et Eric Rohmer (Le genou de Claire, 1970).
Personnalité de la vie mondaine parisienne, il était le propriétaire d'un théâtre de la capitale, "Les Bouffes parisiens". Réalisateur, à la télévision et pour le grand écran, il signa une dizaine de films, dont Eglantine (1971) et Les volets clos (1972). Il avait tourné son dernier film pour la télévision en 2006, Monsieur Max (Gabriel Aghion). Il avait aussi écrit plusieurs livres de souvenirs à succès dont Le ruisseau des singes (Robert Laffont, 2000) et J'ai oublié de vous dire en 2004 (XO éditions).
Né le 30 mars 1933 à Aumale (Algérie), ce fils de colonel vit son enfance au rythme des mutations paternelles. Après son baccalauréat, il s'inscrit d'abord au Conservatoire de Strasbourg puis au Centre d'art dramatique de l'Est, avant de sympathiser avec plusieurs comédiens en tournée théâtrale, dont Jean Marais, qui l'encouragent dans sa vocation.
Débarqué à Paris en 1954, il se met très vite à fréquenter "la bande des Cahiers du Cinéma". Il tourne en 1956 dans Le Coup du berger, un court métrage de Jacques Rivette, et dans L'Ami de la famille de Jacques Pinoteau. Il multiplie ensuite les apparitions, notamment dans Ascenseur pour l'échafaud (1957, Louis Malle), mais la célébrité arrive en 1958 avec les deux premiers films de Claude Chabrol : Le Beau Serge et Les Cousins. Dès lors la Nouvelle Vague ne le lâche plus et Brialy tourne avec Jean-Luc Godard (1960, Une femme est une femme), François Truffaut (1967, La Mariée était en noir) ou encore Éric Rohmer (1969, Le Genou de Claire).
En 1971, il réalise son premier film, Églantine, une évocation nostalgique de ses souvenirs d'enfance. Attaché à cette période de la vie, Jean-Claude Brialy décide de mettre également en images pour la télévision Les Malheurs de Sophie (1981) et surtout Un bon petit diable (1983), avec Alice Sapritch en marâtre.
Boulimique de travail, tournant plusieurs films par an à moins qu'il ne soit au théâtre, Jean-Claude Brialy touche à tous les genres. Bon copain dans Christine (1958, Pierre Gaspard-Huit) ou débordé par les femmes dans La Chasse à l'homme (1964, Édouard Molinaro) et Julie pot de colle (1977, Philippe de Broca), il sait cultiver une image d'amuseur élégant. Mais la gravité fait tout aussi bien partie de son jeu, qu'il exploite notamment dans les films noirs à la française comme Mortelle randonnée (1982, Claude Miller).
Préférant la retenue à l'extravagance, Jean-Claude Brialy incarna souvent des personnages tendres devenant avec l'âge de plus en plus paternels, voire patriarches, à l'exemple de L'Effrontée (1986, Claude Miller) et La Reine Margot (1994, Patrice Chéreau).
"Avec la disparition de ce grand comédien, ce grand acteur, mais aussi cet entrepreneur, réalisateur, directeur de salle et de festival, disparaît aussi un humaniste gourmand et un mémorialiste inépuisable, une sentinelle de la nuit, de la fête et de la poésie", a déclaré le président de la République Nicolas Sarkozy.
1990 - Prix du Maître du bon Goût Ballantine.
1988 - Pour : LES INNOCENTS - César - meilleur acteur dans un second rôle, France.
1972 - Pour : ÉGALNTINE - Prix Jean Le Duc décerné par l'Académie française, France.
153 LONGS MÉTRAGES
2007 - VOUS ÊTES DE LA POLICE ?
2004 - QUARTIER V.I.P.
2004 - PEOPLE OU "JET SET 2"
2003 - AIMEZ-MOI LES UNS LES AUTRES
2003 - CLEFS DE BAGNOLE .LES
2002 - DEMI-MONDAINE AMOUREUSE .LA
2002 - C'EST LE BOUQUET
2001 - CONCURRENCE DÉLOYALE
2001 - SOUTH KENSINGTON
2001 - FILLES, PERSONNE S'EN MÉFIE .LES
2000 - ACTEURS .LES
1999 - IN EXTREMIS
1999 - KENNEDY ET MOI
1998 - HOMME DE MA VIE .L'
1996 - PORTRAITS CHINOIS
1996 - CAPRICES D'UN FLEUVE .LES
1996 - BEAUMARCHAIS, L'INSOLENT
1995 - CENT ET UNE NUITS DE SIMON CINÉMA .LES
1994 - FEMME FRANÇAISE .UNE
1994 - FILS DE GASCOGNE .LE
1994 - REINE MARGOT .LA
1994 - MONSTRE .LE
1991 - AOÛT
1990 - S'EN FOUT LA MORT
1990 - FAUX ET USAGE DE FAUX
1989 - RIPOUX CONTRE RIPOUX
1988 - COMÉDIE D'ÉTÉ
1988 - AU BONHEUR DES CHIENS
1987 - MASCHENKA
1987 - INNOCENTS .LES
1986 - MOUSTACHU .LE
1987 - MALADIE D'AMOUR
1986 - HOMME ET UNE FEMME, 20 ANS DÉJÀ .UN
1986 - LÉVY ET GOLIATH
1986 - SUIVEZ MON REGARD
1986 - GRAND GUIGNOL
1986 - DÉBUTANT .LE
1985 - HERBE ROUGE .L'
1986 - INSPECTEUR LAVARDIN
1985 - EFFRONTÉE .L'
1985 - QUATRIÈME POUVOIR .LE
1985 - MARIAGE DU SIÈCLE .LE
1985 - TÉLÉPHONE SONNE TOUJOURS DEUX FOIS !! .LE
1984 - PINOT SIMPLE FLIC
1983 - CAP CANAILLE
1983 - STELLA
1983 - DÉMON DANS L'ÎLE .LE
1983 - SARAH
1983 - BON PETIT DIABLE .UN
1983 - PAPY FAIT DE LA RÉSISTANCE
1983 - CRIME .LA
1983 - MORTELLE RANDONNÉE
1983 - ÉDITH ET MARCEL
1982 - FILLE DE TRIESTE .LA
1982 - NUIT DE VARENNES .LA
1980 - UNS ET LES AUTRES .LES
1980 - OEIL DU MAÎTRE .L'
1980 - BANQUIÈRE .LA
1979 - BOBO JACCO
1979 - MALHEURS DE SOPHIE .LES
1979 - MAÎTRE-NAGEUR .LE
1978 - ROBERT ET ROBERT
1977 - ENQUÊTE À L'ITALIENNE
1977 - POUR CLÉMENCE
1977 - CHANSON DE ROLAND .LA
1977 - IMPRÉCATEUR .L'
1977 - POINT DE MIRE .LE
1976 - JULIE POT DE COLLE
1976 - BAROCCO
1976 - ANNÉE SAINTE .L'
1976 - ANIMAL DOUÉ DE DÉRAISON .UN
1975 - OEUFS BROUILLÉS .LES
1975 - JUGE ET L'ASSASSIN .LE
1975 - CATHERINE ET CIE
1975 - ONZE MILLE VERGES .LES
1974 - FANTÔME DE LA LIBERTÉ .LE
1974 - COMME UN POT DE FRAISES
1974 - AMOUR DE PLUIE .UN
1973 - OISEAU RARE .L'
1973 - DREYFUS OU L'INTOLÉRABLE VÉRITÉ
1972 - VOLETS CLOS .LES
1972 - MEURTRE EST UN MEURTRE .UN
1971 - COMMENT ENTRER DANS LA MAFIA ?
1971 - ÉGLANTINE
1970 - SAISON EN ENFER .UNE
1970 - GENOU DE CLAIRE .LE
1969 - BAL DU COMTE D'ORGEL .LE
1969 - TOUT PEUT ARRIVER
1968 - MANON 70
1967 - CAROLINE CHÉRIE
1967 - MARIÉE ÉTAIT EN NOIR .LA
1967 - LAMIEL
1966 - PLUS VIEUX MÉTIER DU MONDE .LE
1966 - AU DIABLE, LES ANGES
1966 - I NOSTRI MARITI
1966 - ROI DE COEUR .LE
1966 - HOMME DE TROP .UN
1965 - AMANT PARESSEUX .L'
1965 - JE LA CONNAISSAIS BIEN...
1965 - MANDRAGORE .LA
1965 - MONSIEUR DE COMPAGNIE .UN
1964 - CENT BRIQUES ET DES TUILES
1964 - COMMENT ÉPOUSER UN PREMIER MINISTRE
1964 - BONNE OCCASE .LA
1964 - AMOUR À LA CHAÎNE .L'
1964 - TONIO KRUGER
1964 - CHASSE À L'HOMME .LA
1964 - RONDE .LA
1964 - AMOUR À LA MER .L'
1963 - CHÂTEAU EN SUÈDE
1963 - CARAMBOLAGES
1963 - SIFFLEURS .LES
1963 - BONNE SOUPE .LA
1963 - GLAIVE ET LA BALANCE .LE
1962 - BANDE CASAROLI .LA
1962 - DIABLE ET LES DIX COMMANDEMENTS .LE
1962 - ARSÈNE LUPIN CONTRE ARSÈNE LUPIN
1962 - VEINARDS .LES
1962 - ADIEU PHILIPPINE
1962 - SEPT PÉCHÉS CAPITAUX .LES
1961 - TIRE AU FLANC
1961 - CLÉO DE 5 À 7
1961 - CHAMBRE ARDENTE .LA
1961 - PETITS MATINS .LES
1961 - VANINA VANINI
1961 - ÉDUCATION SENTIMENTALE .L'
1961 - VIE PRIVÉE
1961 - PUITS AUX TROIS VÉRITÉS .LE
1961 - FEMME EST UNE FEMME .UNE
1961 - AMOURS CÉLÈBRES .LES
1961 - LIONS SONT LÂCHÉS .LES
1961 - CHAMBRE ARDENTE .LA
1960 - GODELUREAUX .LES
1960 - GIGOLO .LE
1959 - YEUX DE L'AMOUR .LES
1959 - CHEMIN DES ÉCOLIERS .LE
1959 - QUATRE CENTS COUPS .LES
1959 - BEL ÂGE .LE
1959 - GARÇONS .LES
1958 - COUSINS .LES
1958 - BEAU SERGE .LE
1958 - AMANTS .LES
1958 - PARIS NOUS APPARTIENT
1958 - CHRISTINE
1958 - ET TA SOEUR
1958 - ÉCOLE DES COCOTTES .L'
1957 - CARGAISON BLANCHE
1957 - ASCENSEUR POUR L'ÉCHAFAUD
1957 - TRIPORTEUR .LE
1957 - AMOUR DE POCHE .UN
1957 - MÉFIEZ VOUS FILLETTES
1957 - TOUS PEUVENT ME TUER
1957 - AMI DE LA FAMILLE .L'
1956 - ELENA ET LES HOMMES
1956 - NOTRE-DAME DE PARIS
1955 - FRENCH CANCAN
15 PARTICIPATIONS POUR LE THÉÀTRE
_________________________
2005 - J'AI OUBLIÉ DE VOUS DIRE
2003 - POSTE RESTANTE
1998 - MON PÈRE AVAIT RAISON
1995 - MONSIEUR DE SAINT-FUTILE
1992 - LA JALOUSIE
1989 - L'ILLUSIONNISTE
1986 - LE NÈGRE
1984 - DÉSIRÉ
1980 - MADAME EST SORTIE
1977 - SI T'ES BEAU, T'ES CON
1974 - L'HÔTEL DU LIBRE ÉCHANGE
1971 - LE CIEL DE LIT
1968 - LA PUCE À L'OREILLE
1965 - MADAME PRINCESSE
1962 - UN DIMANCHE À NEW-YORK
1959 - LES PORTES CLAQUENT
36 PARTICIPATIONS POUR LA TÉLÉVISION
___________________________________
2006 - MONSIEUR MAX
2006 - PRÉSIDENT FERRARE
2005 - ROIS MAUDITS .LES
2004 - PLUS BEL HOMME DU MONDE .LE
2003 - PARENTS TERRIBLES .LES
2002 - ON NE CHOISIT PAS SA FAMILLE
2002 - HASARD FAIT BIEN LES CHOSES .LE
2001 - NADIA COUPEAU, DITE NANA
2001 - FILLES À PAPA .LES
2000 - NOS JOLIES COLONIES DE VACANCES
1999 - BICYCLETTE BLEUE .LA
1998 - DAME AUX CAMÉLIAS .LA
1998 - ÉLISABETH
1997 - COMTE DE MONTE-CRISTO .LE
1997 - GEORGES DANDIN
1997 - GRANDE BÉKÉ .LA
1997 - HÉRITIERS .LES
1995 - VACANCES BOURGEOISES
1993 - SANDRA, PRINCESSE REBELLE
1991 - LUCAS
1991 - ÉCHEC ET MAT
1991 - ILLUSIONNISTE .L'
1990 - FERBAC
1990 - C'EST QUOI CE PETIT BOULOT ?
1989 - LOFT STORY
1989 - DEUX VIRUS .LES
1983 - QUELQUES HOMMES DE BONNE VOLONTÉ
1982 - MOZART
1982 - ACCOMPAGNATEUR .L'
1981 - CINQ-MARS
1980 - ARSÈNE LUPIN JOUE ET PERD
1979 - MALHEURS DE SOPHIE .LES
1979 - NUIT DE L'ÉTÉ .LA
1974 - SOIRÉE COURTELINE
1966 - ANNA
1962 - CHÉRI
16 COURT MÉTRAGES ET DOCUMENTAIRES
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2006 - MON DERNIER RÔLE
2004 - QUOI ? L'ÉTERNITÉ
2000 - HOMMAGE À ALFRED LEPETIT
1996 - BELMONDO, LE MAGNIFIQUE
1994 - SACHA GUITRY ET SES FEMMES
1993 - MONSIEUR DIOR
1992 - TOUS LES GARÇONS
1986 - HYPOTHÈSE D'UN SOIR
1985 - TUEUR DE FOUS
1982 - NOTRE-DAME DE LA CROISETTE
1970 - CÔTÉ COUR, CÔTÉ JARDIN
1957 - HISTOIRE D'EAU .UNE
1957 - CHARLOTTE ET VÉRONIQUE
1956 - SURMENÉS .LES
1956 - SONATE À KREUTZER .LA
1956 - COUP DU BERGER .LE
1954 - PARIS, MON COPAIN
1954 - CHIFFONARD ET BON ALOI DE PIERRE LHOMME
_______________________FIN_____________________