MICHEL PEYRELON

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Profession:
Acteur et homme de théâtre français.

Date et lieu de naissance:
10-10-1936, à Puy-en-Velay dans la Haute-Loire en France.

Date et lieu du décès:
04-06-2003, à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris dans le 13 èm arrondissement, en France.

Cause du décès:
De cause inconnue. Il était âgé de 66 ans.

Nom de naissance:
Michel Léon Peyrelon.

État civil:

Taille:
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Anecdotes

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Biographie

Hommage à MICHEL PEYRELON

Mise en page, plus ajout de la vidéo le 22 juin 2009 par Philippe de CinéMémorial.

Michel Peyrelon est né au Puy, le 10 octobre 1936. Il suivit ses études chez les Frères. Bon élève, surtout en français et en histoire, il se range tout de même dans la catégorie des " rêveurs "... La poésie, le théâtre, le spectacle étaient sans doute déjà quelque part dans sa tête : le jour de la rentrée, en 4e, le jeune Michel se précipita dans la classe pour " prendre possession " d'un bureau, mal situé, mais marqué de deux initiales gravées au couteau : L. J., parce qu'il savait que Louis Jouvet avait fait sa 4e dans cette classe. A-t-il réellement usé ses culottes sur le même banc que l'illustre acteur ? Nul ne le sait, et cela importe moins que l'anecdote qui est belle et significative. A la suite de problèmes financiers, sa famille le retira de l'école et, dès l'âge de quinze ans, Michel dut travailler. Pendant plus de deux ans, il fut manoeuvre. Cette période difficile ne le découragea pas et, parallèlement à son travail, il suivit des cours du soir. Un jour, à Avignon, alors qu'il déchargeait des caisses de primeurs à destination des marchés de Cavaillon et de Châteaurenard, il remarqua des affiches du Festival. Fasciné, il alla, le soir, assister à des représentations théâtrales. Ce fut le coup de foudre. Ayant déjà joué en amateur, il prit sa décision : pour lui, ce serait le théâtre ou rien.

Il commença à beaucoup lire, à dévorer, devrait-on dire, et s'inscrivit aux cours Jean-Dasté, à Saint-Étienne (les cours étaient donnés par René Lesage). Très vite, Michel s'aperçut qu'il fallait " ramasser le plus de connaissances possibles ". Alors il s'engagea dans l'armée pour, comme il dit si bien, " passé au travers des choses ". Cette expérience (plus de trois années d'armée), bien que difficile, lui permit de changer, d'acquérir une certaine maturité et surtout un bagage culturel plus important, ce qui lui paraissait essentiel pour se lancer dans le métier de comédien. C'est à l'armée, alors qu'il préparait le concours interne d'entrée à Saint-Cyr, qu'il découvrit des auteurs comme André Malraux, Mao Tsé-Toung, Proust, etc. Lire, travailler et étudier : telle était sa devise.

A sa sortie de l'armée, Michel se présenta au concours de l'École supérieure d'Art dramatique de Strasbourg et y fut admis. Son grand rêve était alors de former une compagnie et de refaire, dans sa région, le travail qu'avait fait Jean Dasté. Après Strasbourg, Michel descendit en Avignon pour rencontrer Jean Vilar. Ce dernier lui fit passer une audition impromptue et l'engagea comme élève-comédien. Après le T.N.P., Michel passa par différentes autres compagnies parmi lesquelles la Comédie de Provence et le Centre dramatique de l'Ouest. En 1960, il réalisa son ancien rêve : il créa sa propre compagnie, la compagnie Michel Peyrelon. Là, il monta des pièces de Beckett, de Calderon, de Synge, de Labiche, de Marivaux, etc. Mais le répertoire de Michel n'était pas seulement classique. Il eut vers la même époque la chance de rencontrer des auteurs, encore inconnus, ou méconnus, tels que Robert Benayoun, Arrabal, Geneviève Serreau, etc. La compagnie Michel Peyrelon monta leurs pièces : Fando et Lys, d'Arrabal, Lits-jumeaux, de Robert Benayoun, etc. En 1965, ce fut La vie est un songe, de Calderon, adaptée par Arrabal. L'affiche de la pièce était signée... Topor : nous n'étions plus très loin de la naissance du groupe " Panique ".

De nombreuses pièces furent jouées au Festival de Belfort, au `Festival de Valence, etc. Tout marchait bien, très bien même. Mais, faute de subventions, il est difficile de faire du théâtre populaire et, en 1970, après dix années d'existence, la compagnie Michel Peyrelon dut cesser ses activités. L'année suivante, Michel fut nommé, par Robert Hossein, directeur du théâtre-école de Reims. Mais il n'y resta qu'un an. A ce sujet, il déclare : " Il faut communiquer aux élèves votre expérience. Et pour cela, il faut en avoir. Et l'on n'a pas le droit de laisser tomber les élèves pour aller faire autre chose. Alors, c'est pour cela que je ne me sentais pas prêt. " Cette modestie et cette honnêteté intellectuelle devraient d'ailleurs servir de leçon à bon nombre de professeurs d'art dramatique dont la principale fonction semble être plus de toucher des " jetons de présence " que d'enseigner... Mais c'est là un tout autre sujet...

Michel Peyrelon avait débuté au cinéma en 1963 avec deux petits rôles dans Les Vierges, de Jean-Pierre Mocky et Un mari à prix fixe, de Claude de Givray. Il revint au cinéma en 1970 et l'on put le voir, entre autres, dans Un condé, d'Yves Boisset. L'année suivante, il tourna dans Biribi, de Daniel Mosman, (qui, avant de passer à la réalisation, avait été acteur dans la compagnie Michel Peyrelon), mais c'est avec La Part des lions, de Jean Larriaga, qu'il fut enfin reconnu : les critiques qu'il reçut furent excellentes et, depuis cette date, il n'a plus cessé de jouer. La Part des lions qui, d'une certaine façon, annonça la fin d'un style de film policier, marqua également le début de la carrière cinématographique d'un grand acteur.

Après avoir été le mari de Laura Antonelli dans Docteur Popaul, de Claude Chabrol, Michel fut " l'Élégant ", l'une de ses plus belles compositions, dans La Scoumoune, de José Giovanni : c'est sans doute grâce à ce film qu'il se révéla au public comme un très grand acteur, sachant utiliser à la perfection son extraordinaire physique, sa voix calme, douce, presque inquiétante... On le vit ensuite dans R.A.S., d'Yves Boisset, dans Les Valseuses, de Bertrand Blier (où, malheureusement, ses scènes furent presque totalement coupées au montage), dans Les Seins de glace, de Georges Lautner, dans Un nuage entre les dents, de Marco Pico. Dans Véronique ou l'été de mes treize ans, de Claudine Guillemain, il avait un rôle très important, aux côtés d'Anouk Ferjac. Mais ce film, qui obtint un immense succès aux États-Unis, ne fit que 100 000 entrées en France ! Et puis, en 1974, ce fut Dupont Lajoie, d'Yves Boisset. Si Michel Peyrelon avait déjà su montrer son immense talent à de nombreuses reprises, on peut dire que dans Dupont Lajoie il montra son génie. Son interprétation unique, exceptionnelle de l'huissier Schumacher mérite à elle seule que l'on voit et revoit ce film. Michel Peyrelon dans Dupont Lajoie, c'est Carette dans L'Auberge rouge, c'est Larquey dans Le Corbeau, c'est Robert Le Vigan dans Goupi mains rouges : c'est la perfection.

En 1975, il tourna sept films, parmi lesquels Le Faux-Cul, de Roger Hanin, Folle à tuer, d'Yves Boisset (dans lequel, malheureusement, son rôle fut quelque peu sacrifié), Adieu poulet, de Pierre Granier-Deferre, et deux Lelouch : Le Chat et la Souris (où il interpréta, d'une manière tout à fait remarquable, un assureur " véreux ") et Le Bon et les Méchants.
De film en film, Michel Peyrelon était devenu l'un des très grands seconds rôles du cinéma français. Connu et reconnu, il fut abondamment sollicité par les metteurs en scène. Comme tous les acteurs, il dut bien entendu " faire le taxi ", ce qui l'amena à tourner avec certains réalisateurs qui ne laisseront guère de traces dans l'histoire du cinéma ; mais, après tout, il ne fit en cela que suivre l'exemple donné par les grands seconds rôles du cinéma français. Pour les lecteurs qui en douteraient encore, il n'est qu'à relire les filmographies de Carette, Larquey, Coêdel, Dalio, Roquevert, etc. !
Michel sut également " prendre des risques " : il apporta son " poids ", sa célébrité, son expérience et son immense talent à de jeunes metteurs en scène tels que Patrick Brunie, Takis Kandilis, Bay Okan, Dominique Cheminai, Philippe Setbon... En 1983, on le revit au cinéma dans Retenez-moi ou je fais un malheur, de Michel Gérard, ce qui fit de lui l'un des très rares acteurs français à avoir pu tourner aux côtés du monstre sacré qu'est Jerry Lewis et au théâtre dans L'Ordinaire, de Michel Vinaver où, encore une fois, il se montra un acteur hors-pair.

Quarante-six films, plusieurs très grands rôles (entre autres dans La Part des Lions, dans La Scoumoune, dans Véronique, dans Dupont Lajoie, dans Le Chat et la Souris, dans le trop méconnu Tusk, etc.) : la carrière cinématographique de Michel Peyrelon est exemplaire de qualité. Il a eu la possibilité de tourner avec de très grands réalisateurs, de Jean-Pierre Mocky à Yves Boisset, de Claude Chabrol à René Allio, de Bertrand Blier à Alexandre Jodorowsky, de Marco Pico à Jean-Louis Bertucelli... et pourtant, il reste plus attiré par le théâtre qui, dit-il, lui a jusqu'à présent offert des rôles plus importants où il " avait quelque chose à défendre ".

" Je n'ai encore rien fait ", déclare cet acteur envahi par le doute et très exigeant vis-à-vis de lui-même. Si l'on considère les extraordinaires compositions qu'il a déjà réalisées, on ne peut que rêver à ce qu'il pourra encore nous offrir ! Aussi, à l'aise dans les rôles historiques (Jules Vallès au théâtre, Carbone au cinéma), que dans les rôles de fiction, il semble que ses possibilités soient sans limites. Il est indéniable que Michel Peyrelon, cet homme calme, cultivé, réservé, pour qui " le comble du malheur est d'avoir des certitudes ", fait aujourd'hui partie du tout petit " club " des très grands seconds rôles du cinéma français - ces rares acteurs qui n'ont qu'à " passer devant la caméra " pour qu'à jamais. les films auxquels ils ont participé soient préservés de l'oubli.

Source : Didier Thouart et Jacques Mazeau. les grands seconds rôles du cinéma français. - Fait le 22 juin 2009 par Philippe de CinéMémorial.

 

Filmographie

 

61 LONGS MÉTRAGES
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1997 - NAIN ROUGE .LE

 

1996 - PLUS BEAU MÉTIER DU MONDE .LE

 

1994 - GRAND BLANC DE LAMBARÉNÉ .LE

 

1993 - VISITEURS .LES

 

1993 - JUSTINIEN TROUVÉ, OU LE BÂTARD DE DIEU

 

1992 - JOURNÉE CHEZ MA MÈRE .UNE

 

1992 - SEPT PÉCHÉS CAPITAUX .LES

 

1990 - VAMPIRE AU PARADIS .UN

 

1989 - FEU SUR LE CANDIDAT

 

1988 - MON AMI LE TRAÎTRE

 

1988 - RADIO CORBEAU

 

1987 - CAMOMILLE

 

1987 - MISS MONA

 

1986 - VIE DISSOLUE DE GÉRARD FLOQUE .LA

 

1986 - SUIVEZ MON REGARD

 

1984 - NOTRE HISTOIRE

 

1984 - COW BOY .LE

 

1983 - RETENEZ-MOI... OÙ JE FAIS UN MALHEUR !

 

1983 - FLICS DE CHOC

 

1982 - FEMME IVOIRE .LA

 

1982 - DRÔLE DE SAMEDI

 

1982 - PLUS BEAU QUE MOI, TU MEURS

 

1981 - TRANSIT

 

1980 - RENDEZ-MOI MA PEAU

 

1979 - TUSK

 

1979 - GAGNANT .LE

 

1979 - GROS CÂLIN

 

1979 - FLIC OU VOYOU

 

1978 - ÉGOUTS DU PARADIS .LES

 

1978 - DORA ET LA LANTERNE MAGIQUE

 

1978 - CES FLICS ÉTRANGES VENUS D'AILLEURS

 

1978 - REFORMÉS SE PORTENT BIEN .LES

 

1978 - ONE, TWO, TWO : 122, RUE DE PROVENCE

 

1978 - ILS SONT FOUS CES SORCIERS

 

1977 - IMPRÉCATEUR .L'

 

1975 - OEUFS BROUILLÉS .LES

 

1975 - BON ET LES MÉCHANTS .LE

 

1975 - CHAT ET LA SOURIS .LE

 

1975 - ADIEU POULET

 

1975 - CALMOS

 

1975 - FOLLE À TUER

 

1975 - FAUX-CUL .LE

 

1975 - VÉRONIQUE OU L'ÉTÉ DE MES 13 ANS

 

1974 - DUPONT LAJOIE

 

1974 - NUAGE ENTRE LES DENTS .UN

 

1974 - SEINS DE GLACE .LES

 

1974 - VALSEUSES .LES

 

1973 - RUDE JOURNÉE POUR LA REINE

 

1973 - AFFAIRE CRAZY CAPO .L'

 

1972 - R.A.S.

 

1972 - SCOUMOUNE .LA

 

1972 - FILS .LE

 

1972 - DOCTEUR POPAUL

 

1971 - PART DES LIONS .LA

 

1970 - BIRIBI

 

1970 - VERTIGE POUR UN TUEUR

 

1970 - BEAU MONSTRE .UN

 

1970 - CONDÉ .UN

 

1963 - MARI À PRIX FIXE .UN

 

1962 - VIERGES .LES

 

55 PARTICIPATIONS POUR LA TÉLÉVISION
____________________________________________

 

2000 - MÉDÉE
Téléfilm - Réal : Don Kent

 

1999 - ENFANT DE LA HONTE .L'
Téléfilm - Réal : Claudio Tonetti

 

1995 - QUATRE POUR UN LOYER
Série TV - Réal : Georges Barrier

 

1992 - CHUTE LIBRE

 

1992 - COMMISSAIRE DUMAS D'ORGHEUIL : JOHN
Téléfilm - Réal+Scén : Philippe Setbon

 

1992 - INSPECTEUR MÉDEUZE
Série TV de 1993 à 1996 - Réal : Philippe Triboit

 

1991 - VACANCES AU PURGATOIRE
Téléfilm - Réal : Marc Simenon

 

1990 - PIÈGE POUR FEMME SEULE
Téléfilm - Réal : Gérard Marx

 

1990 - HORDES .LES
Téléfilm - Réal : Jean-Claude Missiaen

 

1990 - ANNÉES DE PLUMES, ANNÉES DE PLOMB
Téléfilm - Réal : Nicolas Ribowski

 

1990 - NAVARRO
Série TV - Michel a participé a l'épisode : Strip-Show - Réal : Gérard Marx

 

1990 - SNIPER
Téléfilm - Réal : Klaus Biedermann

 

1990 - DEUX FLICS À BELLEVILLE
Téléfilm - Réal : Sylvain Madigan

 

1989 - V COMME VENGEANCE
Série TV de 1989 à 1991 - Réal : Bernard Queysanne

 

1989 - MASQUE .LE
Série TV - Réal : Yves Barbara

 

1987 - MARIE PERVENCHE
Série TV de 1987 à 1991

 

1987 - CRÉPUSCULE DES LOUPS .LE
Téléfilm - Réal+Scén : Jean Chapot

 

1987 - SUEURS FROIDES
Série TV - Réal+Scén : Philippe Setbon

 

1987 - MÉMÉS SANGLANTES .LES

 

1986 - HEURE SIMENON .L'
Série TV - Réal : Fabrice Cazeneuve
Michel a participé dans l'épisode : Un nouveau dans la ville

 

1985 - DOMICILE ADORÉ, DO MI SI LA DO RÉ
Téléfilm - Réal : Philippe Condroyer

 

1985 - MADAME ET SES FLICS
Série TV - Réal : Roland-Bernard - Michel a participé dans l'épisode : Le corbeau informatique

 

1984 - CHÂTEAUVALLON
Série TV - Réal : Serge Friedman

 

1984 - SÉRIE NOIRE
Série TV - Réal : Jacques Ertaud - Michel a participé dans l'épisode : Pitié pour les rats

 

1984 - REGARD DANS LE MIROIR .LE
Série TV - Réal : Jean Chapot

 

1984 - MESSIEURS LES JURÉS
Série TV - Réal : Gérard Gozlan - Michel a participé dans l'épisode : L'affaire Gadet

 

1983 - RUE CARNOT
Série TV - Réal : Jean-Pierre Desagnat et Pierre Goutas

 

1983 - MANIPULATIONS
Téléfilm - Réal : Marco Pico

 

1983 - DISPARITIONS
Série TV - Réal : Yves Ellena et Daniel Moosmann

 

1982 - VIE DE BERLIOZ .LA
Série TV - Réal : Jacques Trébouta

 

1982 - TROIS MORTS À ZÉRO
Téléfilm - Réal : Jacques Renard

 

1981 - JULIEN FONTANES, MAGISTRAT
Série TV - Réal : François Dupont-Midi - Michel a participé dans l'épisode : Une fine lame

 

1980 - JEUNE FILLE DU PREMIER RANG .LA
Téléfilm - Réal : Jacques Trébouta

 

1980 - HENRI IV
Téléfilm - Réal : Jeannette Hubert

 

1980 - LE ROMAN DU SAMEDI : Mémoires de deux jeunes mariées
Téléfilm - Réal : Marcel Cravenne

 

1979 - FANTÔMAS
Série TV - Réal+Scén : Roger Hanin - Michel a participé dans 2 épisodes : Le mort qui tue / L'étreinte du diable

 

1979 - LE ROMAN DU SAMEDI : Le coffre et le revenant
Téléfilm - Réal : Marcel Cravenne

 

1979 - NOEUD DE VIPÈRES .LE
Téléfilm - Réal : Jacques Trébouta

 

1978 - FEMME DANS LA VILLE .LES
Téléfilm - Réal+Adapt. : Joannick Desclers

 

1978 - PROFESSEUR D'AMÉRICAIN .UN

 

1978 - ÉCLAIRCIE .L'
Téléfilm - Réal : Jacques Trébouta

 

1978 - AUJOURD'HUI DEUX FEMMES
Téléfilm - Réal : Daniel Moosmann

 

1978 - ORANGE AMÈRE .L'
Téléfilm - Réal+Scén : Roger Hanin

 

1978 - MESSIEURS LES RONDS-DE-CUIR

 

1977 - AURÉLIEN
Téléfilm - Réal+Adapt. : Michel Favart

 

1977 - RABAT-JOIE .LE
Téléfilm - Réal+Scén : Jean Larriaga

 

1977 - JEAN-CHRISTOPHE
Série TV - Réal : François Villiers

 

1977 - HÉRITIERS .LES
Série TV - Réal : Jacques Trébouta - Michel a participé dans l'épisode : Le codicille

 

1977 - SAM ET SALLY
Série TV - Réal : M-G. Braun - Michel a participé dans l'épisode : Lili

 

1977 - ÉTÉ ALBIGEOIS .UN

 

1976 - COMMISSAIRE MOULIN
Série TV - Réal : Jacques Trébouta - Michel a participé dans l'épisode : Marée basse

 

1975 - SPLENDEURS ET MISÈRES DES COURTISANES

 

1974 - PLUS AMER QUE LA MORT
Téléfilm - Réal : Michel Wyn

 

1972 - ARSÈNE LUPIN
Série TV - Réal : Jean-Pierre Desagnat - Michel a participé dans l'épisode : Herlock Sholmes lance un défi

 

1968 - FORTUNE
Série TV - Réal : Henri Colpi

 

6 COURTS MÉTRAGES:
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2002 - MERGUEZ, PANINI, KEBAB, JAMBON BEURRE

 

2000 - TROIS PETITS MONSTRES ET PUIS S'EN VA
Court métrage de Vincent Weil

 

1999 - BONNE ADRESSE .LA
Court métrage de Gérard Goldman

 

1997 - À FOND LA CAISSE
Court métrage de Vincent Rivier

 

1983 - VOYAGE D'ANTOINE .LE
Court métrage de Christian Richelme

 

1982 - ANTON MUZE
Court métrage de Philippe Setbon

 

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